jeudi 23 décembre 2010

EDITH COMEAU TUFTS, 91 de Saulnierville, NÉ, membre de l'Ordre du Canada

Gérard Thériault, notre délégué de la Nouvelle-Écosse, nous rapporte les nouvelles regrettable que Édith Comeau Tufts, de Saulnierville est décédé lundi dernier, 20 Décembre. Comme souligné par Gerry, "...Édith était l'auteur de" Le Petit Acadien "livre de couleurâge, et une dame dynamique de Clare."

Sa notice nécrologique a été publié le 21 Décembre par le Halifax Chronicle.

vendredi 19 novembre 2010

MARAIS BELLE ISLE, BERCEAU DE L'ACADIE

Et de l'autre bout du continent, nous avons reçu une petite note de Gérard Thériault de Petit Ruisseau, Nouvelle-Écosse pour nous parvenire de quelques nouvelles qui venaient d'être publiés par le «Courrier de la Nouvelle Écosse» concernant les fouilles archéologiques à Belle-Isle, une ancienne hameau acadienne qui faisait partie de la colonie de Port-Royal environ 10 miles en haut du village appropriée. Jehan et Perrine Terriot, ancêtres de notre famille ont été enregistrés comme ayant vécu à Belle Isle dans Port Royale au 17ème siècle. Visitez notre site Internet "Voile de La Havre à La Hève" et "Promesse de l'Acadie" (http://terriau.org/jehanx.htm#Sail) pour l'histoire de Jehan et Perrine à Port Royal. Gérard est notre délégué pour la Grande lignée de Léo François and Marguerite LeBlanc Thériault, de Pointe-de-l'Église, Nouvelle-Écosse sur la baie Ste-Marie. Voici l'article du Courrier ...

mercredi 17 novembre 2010

CANADA RECONNAÎT UNE CONTRIBUTION ACADIENNE

Je viens de recevoir une note de Karen Theriot Reader de quelques nouvelles qu'elle a pris sur le site Parcs Canada. Merci, Karen. Karen est notre chercheur et généalogiste pour les Theriots de la Louisiane et aussi notre administrateur pour le projet de Terriot ADN. Elle est notre délégué pour la Grande-lingée Elric Joseph et Leora Theriot. Voici les nouvelles ...

La semaine dernière, le gouvernement canadien a dévoilé une plaque des sites et monuments historiques du Canada commémorant l'importance historique nationale du système aboiteau acadien. «Cette technologie maritime a joué un rôle central dans la hausse et l'évolution du peuple acadien lors de les 17e et 18e siècles», a déclaré le sénateur Poirier. Le système d'aboiteau acadien est l'élément essentiel d'une technique pour drainer les marais salants. Tout au long de la période coloniale, les Acadiens ont été les seuls en Amérique du Nord pour drainer et cultiver une grande partie des marais salants riche qui était au-dessous de la marée haute. Ces terres exceptionnellement fertiles ont été la clé de la prospérité de la communauté acadienne jusqu'à la Déportation de 1755. Voici le premier article. ... et le deuxième article.

samedi 23 octobre 2010

VILLAGE BELLE-ISLE DE PORT ROYAL

J'ai reçu un courriel d'un ami acadien, Ghislain Savoie. Il rapporte:

Mon frère Jean-Claude, qui habite au NB, m'a envoyé un message aujourd'hui m'informant que le Gouvernement de Nouvelle-Écosse vient d'annoncer que le Marais de Belleisle en Nouvelle-Écosse était maintenant protégé. Nos ancêtes acadiens Savoie, Thériault, Gaudet, Doucet, et beaucoup d'autres étaient les premiers colons de ce village qui était l'un des plus gros de la colonie de Port-Royal. Jean-Claude a subventionné des fouilles archéologiques de maisons acadiennes à Belleisle, fouilles effectuées par l'archéologue Marc Lavoie, prof. à l'Université Ste-Anne en Pointe-à-l'Église (Church Point), Nouvelle-Écosse dont parle la nouvelle ci-jointe. Voici le lien à cette nouvelle de Radio-Canada d'aujourd'hui. Cliquez ici:

http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2010/10/23/001-marais_Belle-Isle_protection.shtml

Voir à droit une photo aérienne que j'ai moi-même prise en 2004 du Marais de Belleisle. Cliquer sur le photo pour enlargir.

lundi 18 octobre 2010

Facebook en violation de confidentialité...

Pour ceux de vous qui sont utilisateurs de 'Facebook', le 'Wall Street Journal' a récemment révélé que si vous utilisez le «Farmville» et «Texas Hold'em Poker" et d'autres applications, votre 'user ID' et d'autres renseignements personnels a été publié pour les annonceurs. Consultez l'article.

dimanche 22 août 2010

EN PENSANT A CHÉRE SUZANNE...

Dans nos affaires pour la préservation de généalogie et de l'histoire de notre famille, nous rencontrons et travaillons avec des gens très dévoués. C'est très inspirant. Ces gens qui sont si dévoués et qui travaille bien des années pour l'amour de leur travail. Une dame qui était consacré à la généalogie de la famille Terriot était Suzanne Lévesque, notre délégué fondatrice pour la Grande-lignée de Charles et Claudia Thériault de Sainte-Épiphane, QC. Suzanne a été un des premiers à nous contacter en notre première année pour nous encourager, mais aussi pour nous demander pourquoi nous n'avions pas inclus sa branche dans nos archives! J'ai expliqué comment nous sommes organisés et que nous incluons juste les branches que quelqu'un nous apporte et qui est prêt à représenter la lignée. Alors elle dit "Bien je veux m'inscrire! Qu'est-ce qu'on attend?" Ce fut le début d'une longue association.

Comme je continue à réorganiser mon bureau et bibliothèque, je suis venu sur des papiers qui m'ont été envoyées par une autre dame très dévouée, qui j'espère, je ne vais pas l'embarrasser en citant son nom: Murielle Thériault, notre
Délégué pour la Grande lignée de George et Virginie Thériault. Inclus dans les matériaux de Murielle était une photo de Suzanne dans sa cuisine. Immédiatement, je voulais le poster ici pour tout le monde à voir et à se souvenir.

Comme beaucoup d'entre vous le savez, nous avons perdu Suzanne il-y-a quelques années après une longue bataille avec sa santé ...
et nous la manquons et son magnifique travail et coopération. Un grand merci à Suzanne pour ses travaux très fin et son dévouement total. Elle a aidé beaucoup de nos autres délégués à donner un sens à leur généalogie. Qu'aurions-nous fait sans Suzanne?


DE NOTRE DÉLÉGUÉ, VINCENT DURANT



Pour ce qui semble d'être bien des années maintenant, je m'ai mis à nettoyé et organisé mes fichiers. Au cours des dixième dernières années des affaires de la Société de la famille acadienne Terriot, j'ai été béni avec tant de lettres de nos délégués et autres membres de la famille. Beaucoup sont très remarquables et doivent être conservé and mit à votre attention.

Une de ces lettre est de Vincent Durant, notre délégué pour la Grande lignée de Philomène Thériault et Stephen Durant (MRIN 1774).
Ce fut reçu environ 2 août 2005, lorsque Postes Canada avait émis deux timbres-poste spéciaux à l'honneur de l'expulsion des Acadiens hors de leur patrie. Les timbres commémoratifs sont tout simplement magnifiques (clic gauche sur chaque set pour agrandir) et bien que je sois cinq ans de retard à mettre ça à votre attention, je pense qu'il n'est jamais trop tard pour reconnaître ce bon fait de Vincent.
Merci Vincent!

Suggestion: Lorsque vous cliquez à gauche sur le set de timbres pour l'agrandir, une fois que la nouvelle fenêtre s'ouvre avec l'image agrandie, faites un clic gauche encore sur cette image pour l'agrandir encore plus loin.
Le détail est exquis! Pouvez vous voire la belle Évangeline devant sont église à Grand Pré?

dimanche 27 juin 2010

JOSEPH & AGNÈS: SORTIE DE L' ACADIE...

Le 12 juin 2010, l'ASSOCIATION DES FAMILLES THÉRIAULT D'AMÉRIQUE ont commémoré un ancêtre acadien très important de la cinquième génération de la famille Terriot. (La cinquième génération de la famille Terriot est la génération qui s'étend sur les années du Grand Dérangement.) Pendant quatre années à partir de 1755 jusqu'en 1759, Joseph Terriot de Grand-Pré et son épouse, Agnès Cormier ont réussi à s’échapper de la chasse pernicieuse des Anglais pour déporter les Acadiens lors du "Grand Dérangement".

[A droite, l'église paroissiale de Saint-Jean-Port-Joli où Joseph et Agnès finit par s'établir. Cliquez sur la photo pour l'agrandir.]

Finalement, Joseph et Agnès ont capitulé et ont fui leur bien-aimée Acadie quittant leur maison et leur biens autour de Beaubassin (aujourd'hui Amherst). Marié depuis 13 ans, ils avaient six enfants à l'époque: deux fils et quatre filles. La plus jeune était une petite fille né juste avant de quitter l'Acadie. Ce fut une pénible et longue marche. En utilisant des simples lignes droite des mesures, le voyage couvert au moins 700 km. Leurs efforts pour éviter les Anglais sûrement ont ajouté nombreux kilomètres pour leur voyage à pied et en canot.

(Continué)