samedi 29 décembre 2012

NOUS AVONS DÉMÉNAGÉ A UNE NOUVELLE ADDRESSE

Nous nous excusons pour les inconvénients, mais nous avons déménagé à une nouvelle adresse. Vous allez maintenant nous trouver à:

LESJASEUXFRANCAIS.WORDPRESS.COM

Au plaisir de vous y voir!

lundi 24 décembre 2012

UN CADEAU D'UN COUSIN LOUISIANAISE...

J'ai reçu le plus beau cadeau de Noël jamais d'un cousin en Louisiane. Son nom est Roland Theriot.



Il s'agit d'une vidéo d'une performance par le groupe de chant du sud-ouest de la Louisiane , "Les Amies Louisianaises". qui chant «La Grâce du Ciel» (Amazing Grace) Donnez le fichier une minute pour télécharger et installer le lecteur vidéo en plein écran pour une lisibilité optimale.

J'ai dit à Roland qu'il m'envoyer ca ce video en bon temps ... pour moi de toute façon. C'est une belle interprétation de la chanson. Asseyez-vous pour un moment calme et écoutez-le. Vous serez heureux que vous l'avez fait ... surtout en cette saison.

Joyeux Noël à tous!

mercredi 5 décembre 2012

ALINE THERIOT MEAUX, délégué fondateur, décédé à Abbeville, Louisianne

Aline Elizabeth Theriot Meaux, à son 90e anniversaire en juin...
Je viens de recevoir des nouvelles très triste  ce matin que nous avons perdu un membre fondateur très dévoué à notre Société de la famille acadienne Terriot. Aline Elizabeth Theriot Meaux  est morte paisiblement dans son sommeil ce matin. Elle était avec sa famille aimante. Aline est née de Alexandre Telesphore Theriot II et Aline Marie Parcs le 22 mai 1922 en la Mulvey Community de la paroisse de Vermillion , en Louisiane. Aline était notre délégué pour la grande-branche de "Telesphore A. et Marie E. Fanguy Theriot" de New Orleans. Son délégué adjoint est sa fille, Louise Meaux Duhon.

S'il vous plait, joignez-moi pour donner à Louise et sa famille de Meaux, nos plus sincères sympathie.
Pour nous, elle était notre lien avec notre famille en Louisiane. Elle a travaillé longtemps et durement à partir de 1999 pour commencer notre organisation. Nous sommes venus à l'appeler 'MizMo' son nom de l'Internet et nous avons appris très vite qu'elle avait un grand talent pour les mots. Pas longtemps après, elle écrivait des 'petites histoires' de son enfance et les années de croissance en la Louisiane. Nous avons devotée une page de notre site familial pour elle et ses 'petites' histoires. Le chapitre est intitulé "Sur le Bayou".

Nous sommes très reconnaissants pour sa contribution à notre travail familial. Elle avait un grand esprit d'équipe que nous manqueront bien. Je voudrais partager avec vous un message qu'elle a composé peut-être pour ce moment.

Elle à intitulé le morceau "Sur une note plus personnelle" ...
"Mes parents n'étaient pas des gens très démonstratifs. Ils n'avaient pas été élevé comme ça. Je ne me souviens pas d'avoir été embrassé par eux ou par mes frères et sœurs quand j'étais un enfant. Mais je savais qu'ils m'aimaient parce qu’ils me protégeaient et prenait soin de moi et me traitait avec dignité, tout en me permettant de grandir et de devenir moi-même.

J'ai eu une enfance heureuse sans soucis et j'ai eu des moments quand je me sentais comme si que j'étais en amour avec le monde entier. Il y avait tant de choses pour apporté la joie à mon cœur. Couché dans l'herbe vert tendre en regardant le ciel bleu et cherchant des images dans les nuages ​​était un de mes passe-temps favoris. Voyant mon petit frère assis en arrière dans une vielle chaise berceuse bleu qu'il appelait son cheval, et se berçait tant qu'il s’en dormait; me faisait sourire. Aidant grand-père dans son jardin me faisait sentir importante, comme ramasser des figues et des muscadines et des fraises en l’été, et les pécans et noisettes en l'automne. Je sentais que j’aidais au bien-être de la famille. Et les livres! J'ai eu une longue histoire d'amour avec mes livres.


Parce que j'étais aveugle d'un œil, ma mère essayait de me décourager de trop lire, en disant qu'elle ne voulait pas que je force mes yeux, alors je me cachais sous mon lit où il faisais frais, et je lisais par la lumière de la fenêtre, ou parfois je grimpais sur l'arbre de noisette et me cachais là pour lire les magazines du Ouest  et de les sauvages que mon frère avait. Personne n'a jamais su ce que j'avais trouvé une fois un copie du « Whizbang » magazine. J'ai commencé à le lire, mais aussitôt que j'ai vu que s’était, je l'ai jeté dans le bayou et je l’ai regarder tant qu'il ce dérivait.


Maman disait souvent que j'avais un esprit comme une éponge, parce que je me souvenais de tout que j'ai lu et appris à l'école. Aujourd'hui, je me souviens seulement de les choses qui sont importantes pour moi, et c'est important pour moi maintenant. Pourquoi presser ma tête avec des choses que je n'ai pas l'intention d'utiliser?


J’ai connus beaucoup de gens que je considère la plus grande parti comme mes amis, mais je ne peux honnêtement pas dire que j'ai eu un "meilleur ami" que mon mari, Joseph. Il a été élevé de la même manière que moi. Plus timide et réservé, il n'était pas bavard. Il disait que je parlais assez pour nous deux. Je pense que c’est naturel que nous avons élevé nos enfants comme nous avons été élevés, bien que j’ai joué plus avec mes enfants. J'ai bien aimé aller avec eux pour cherché de fossiles quand qu’un camion de la paroisse venait avec une charge frais de gravier sur notre chemin. J'ai bien aimé amener mes enfants à la bibliothèque et j’aimais coudre des vêtements pour eux. Je me souviens encore le tablier que j'ai fait pour Cissi à Pâques. Il était vert foncé avec des petits pois blancs, et je bonnèterie d'une dentelle blanche sur la bordure volants sur l'épaule. J'ai faite des habits pour mes filles et certains de leurs cousins ​​qu’ils ont porter pour deux ans avant que le vêtement ont venu au magasin.


 Je me souviendrai toujours du temps, que nos enfants et moi étions assis dans la salle d'attente à l'hôpital tandis que Joseph se faisait opéré pour une angioplastie. L'infirmière est venue plusieurs fois pour nous donner un rapport. La dernière fois qu'elle est venue, en se retournant, elle dit: «Et, Mme Meaux, votre mari m'a demandé de vous dire qu'il vous aime." Je me tourna vers les enfants et dit: «Oh, la je sais qu'il a peur!"


Mon enfance, le printemps de ma vie fut un temps heureux pour moi, et mon été a été bien heureux, aussi. Comme je passe mon automne, j'ai fini par comprendre combien que c'est important de dire à mes enfants et mes amis que je les aime, et je manque jamais une occasion de le faire. J'aime la façon que mes enfants, petits-enfants et arrière petits-enfants me rencontre avec des câlins et des bisous quand ils viennent me voir. Je suis une femme bien riche et heureuse, toujours en amour avec le monde entier. Je ne m’occupe pas de l'hiver qui approche. Je sais que nous avons besoin de cette saison pour dormir et pour se reposer et se préparer pour notre prochain printemps."